Les
origines ethniques de cet individu ont intrigué plus d’un anthropologue.
Qui est-il, d’où vient il ?
Rien ne permet de déterminer chez lui qui du Maure ou de latin l’emporte
sur le slave pour en faire cet authentique frangawi. Le mystère reste
entier, et même sa remarquable verve son sens inné de la tchatche
ne peuvent suffire à expliquer comment il a réussi à faire
croire à des milliers de personnes qu’il était non seulement
chanteur mais aussi danseur.
Hâbleur, Menteur, Tchatcheur, le danger pour ta fille c’est lui
!
Si tu aimes les personnages sulfureux au destin d’envergure (certain lui
prédise un avenir politique en Allemagne)
clique
ici ou sur la photo
L'
O
e
i
l
D
a
n
s
L
e
R
e
t
r
o
Né
aux confins du vignoble Nantais, Olivier utilise un physique plus qu’avantageux
pour séduire de vieilles personnes qui lui donnent des bonbons acidulés
contre quelques faveurs. A l’adolescence, ces prédispositions naturelles
pour la musique inquiètent déjà les bonnes sœurs de
l’institution catholique où on l’a placé en dernier
ressort. Celle-ci ne peuvent que laisser libre cours à son inspiration
débordante. Doué d’une conscience aiguë de la rythmique
il tape sur tout ce qui bouge.
Aujourd’hui, arrivé à l’âge « adulte »
il développe une conception personnelle de la batterie, entre John Bonham
du Zepplin et le petit lapin Duracell.
Cliquez sur son nom il saura vous surprendre.
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dans le chu !
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accueil
Cet enfant de la balle, fils et petit fils de forain a
connu les dernières roulottes du petit cirque familial, les villages
méfiants et les grosses villes boudeuses. Rien n’a jamais
altéré la joie naturelles de ce ténor du tréteau
qui a appris ses premières positions au saxophones avec Papy (Emile).
Un nez rouge un coussin péteur, imitation du bruit du vent avec
son saxophone, virevoltes et grimaces rien ne l’effrayait, aucune
acrobatie n’était assez osée pour faire rire petits
et grands. Mais les huissiers, que de longues études de droit et
un baccalauréat laborieusement acquis, ont légèrement
écarté de cette conception de l’humour et du spectacle
vivant, mirent un terme brutale aux pérégrinations de cette
petite entreprise familiale.
Il ne restait plus à Alain qu’a suivre sa propre route jouant
et soufflant sur toutes les routes de France mais aussi d’Amérique
(eh oui). Celle ci (de route) croisa celle de l’œil dans le
rétro par ces clin d’œil du destin qui ne vous font
jamais du pied par hasard.
Spéciale
dédicace à
Jean-Yves, Freddy
& Pascal
les hommes
de l'ombre, huitièmes roue du carrosse et prodigateurs officiels de
conseils.
accueil,
écouter,dates,
video, laisser un
message, photos, articles,
presse, jouez
avec l'oeil, paroles
, tablatures ,bannières
Après
avoir quelques temps officié comme mannequin officiel chez Fleury Michon
Stéphane a sut tirer partie d’une dextérité hors
du commun pour échapper au destin sordide auquel ses difficultés
scolaires semblaient le destiner.
Atteint de troubles passagers du sommeil et de la mémoire il peut lui
arriver de se coucher avec ses brodequins ou de venir en concert sans sa clarinette
mais la virtuosité excuse tout et que ne pardonnerions nous pas à
un si beau sourire.
Si tu es une jeune fille
clique ici.
Ses
parents étant tenanciers d’un débit de boisson sur le quai
de la fosse, le petit Rodolphe fut tout petit initié à l’art
séculaire de l’amour.
Ses modèles avaient pour noms « Lulu la Nantaise » mais aussi
Paco de Lucia…..
Doté d’un indice de testostérone l’empêchant
d’exercer dans le petit commerce familial (où attirer la clientèle
est plus facile que d'expliquer au commissaire de police d'où vient tout
cet argent liquide) Rodolphe dés 7 ans amusait les vieux messieurs de
son doigté fin et léger sur le manche de sa guitare.
Sa rencontre avec le groupe l’œil dans le rétro fut pour lui
l’occasion de quitter les néons lumineux des bords de Loire pour
des destinations toujours nouvelles et des rencontres toujours plus excitantes.
Né
dans un quartier « populaire » de la banlieue Nantaise. Doté
d’une intelligence vive et instinctive. Brice fut très tôt
en but avec l’autorité des gens à collier de barbe ou portant
képi.
En voilà un qui n’a pas coûté cher en fourniture scolaire
à ses parents.
A 10 ans on l’envoya au vert dans la caravane de sa grand mère,
loin des tentations de la grande ville et près de l’attention bienveillante
des nombreux tontons et cousins qui vivaient tout autour.Leur instrument favori
: la guitare, leur style : le swing manouche.
Pour Brice cela sonna comme une évidence, il jouerai …. du tuba.
Huit ans plus tard les orchestres classique se l’arrachaient déjà.
C’est pourtant une modeste formation du nom de l’œil dans le
rétro qui fut choisie par le petit prodige. Avec nous depuis 5 années
! ! ! ! il semble s’être habitué à notre présence
et avoir trouver le cadre propice à l’expression de sa conception
personnelle de la liberté.
Si tu veux jouer avec un homme qui ne sourit qu’une fois par jour
clique
ici.
On oublie juste de
ne pas oublier que tout ce petit monde, joue de la musique ensemble ou séparément
depuis plus de vingt ans, sur les marchés, dans les écoles
de musique, les bistrots de famille, et puis sur les scènes de France
et de Navarre.
Que le fruit de leur rencontre, le résultat de toutes ces expériences,
de tous ces « savoirs faire » a été gravé
dans la matrice au studio Capitol de saint Ouen (93) grâce aussi à
l’enthousiasme et au talent de Florent LIVET (ingénieur du
son ingénieux et talentueux de 23 ans) auquel l’œil dans
le rétro dit encore merci de lui avoir permit de vivre cette expérience.
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